Faits divers

Douala: Mort mystérieuse d’un homme dans un super marché

C’est dans l’enceinte du super maché Mahima à Akwa, que s’est produit le drame, le lundi 14 mars 2016 dans la ville de Douala.
Pourquoi Valère Adèle Zeh s’est-il donné la mort ? Pourquoi a-t-il choisit le super marché Mahima pour commettre cet acte macabre ? Telles sont là quelques interrogations qui restent sans réponses. Et que sait ce jeune homme de 34 ans qui serait parti dans la tombe avec les réponses ? Ce dernier est arrivé en mi-journée du lundi 14 mars dans ce lieu de commerce comme tous les autres clients ordinaires. Il a fait normalement le tour des rayons dans le but de trouver la marchandise à sa guise. Arrivé juste au rayon qui abrite les ustensiles de cuisine, il a pris un couteau de cuisine et s’est tranchée la gorge. Une employé de Mahima surpris par un hurlement bizarre, et se rend sur les lieux, d’où elle découvre le corps de ce Camerounais, gisant dans une mare de sang. Et aussitôt les autres clients ainsi que le patron ont accouru vers le théâtre de la scène macabre.
Selon nos sources, au moment de l’avenue de la première employé du commerce que les cris avait attiré son attention, Valère Adèle Zeh était suffisamment atteint et poussait son dernier souffle de vie. « Dès que je suis arrivée, il était presque couvert de sang et son cou était aussi tout ouvert, de mon point de vue, il y’avait plus rien à faire pour lui. », explique cette employé de Mahima. Une situation qui a connu la descente rapide des acteurs institutionnels à savoir le Procureur de la République de première instance de Bonanjo, du commissaire du 1er arrondissement de la capitale économique et d’un médecin légiste pour constater les faits. D’autres informations provenant des sources proches de l’affaire font état de ce qu’il soupçonnerait sa petite amie d’infidélité. Et ne pouvant plus supporter cette situation qui se répétait, il a choisi de se donner la mort. Son corps a été déposé dans une morgue de la place et les enquêtes sont en cours pour voir plus clair sur cet incident.

Stéphane KAMGAING